Voila, bon, je sais pas si c'est le bon endroit...
mais je voulais discuter sur le problèmes des frontières de la conscience,
puqi'il semble, au fur et à mesure qu'on l'étudie que la limite soit de plus en plus floue...
déjà, il est établi maintenant que les anthropoïdes en sont doués,
(et pas seulement par un "test du miroir", mais une capacité d'abstraction, d'éprouver des sentiments très sensibles, de compassion langage appris ne servant pas qu'a éprouver des besoins*)
un des éléments, la capacité à mentir à l'autre, qui demanderait d'appréhender la notion "d'autre", se retrouve chez certains animaux qui échoue le test du miroir : rats, corbeaux;
certains corvidés sont capables de résolution de problèmes et d'improvisation d'outils qui demandent une capacité d'abstraction élevée;
certains perroquets peuvent utilsier un langage appris en vue de communication et capable d'associer, de compter et... surtout d'avoir la notion du "rien".
autre point d'interrogation, personnel celui là : l'imprégnation et la vie en commensalité n'induit-il pas un comportement "humanisé" (dans une certaine limite... le comportement hierarchique social du chien reste celui du loup) chez les animaux dit "domestiques" ?
nous en tiront parti, mais certains tirent également parti de nous
(il n'y a qu'a observer les chats, capablent d'associer le déclendement d'une clanche et l'ouverture de la porte... ou sachant utiliser leurs attitudes/vocalises pour obtenir un supplément de nourriture/attention;)
bref, est-ce qu'il n'y aurait pas des formes différente de conscience, plutôt qu'une forme, la notre (et celles de nos cousins) ?
* certaines capacités associées à la sentience sont également associées à une vie sociale très forte...
alors une autre forme de sentience serait peut-être imaginable en l'appliquant sur des animaux solitaires?
(j'emploie le terme "animaux au sens large, l'Homme inclu dedans...)