Bon, voila,
j'ia commencé à réfléchir sur la biologie des espèces d'Hoshikaze...
et en repesnant aux marionettistes et aux problèmes de symbioses/commensalités, je n'ai pu empêcher de voir se formuler une critique en mon esprit...
mais j'espère qu'elle sera constructive.
voila : bon, je ne pense pas que la "barrière de sentience" suffise
à l'absence de souffrance chez les animaux.
là je parle en exclusion des espèces capables ou soupçonnées d'avoir une forme de conscience de soi : grands singes, certains corvidés, certains cétacés, etc...
En tant qu'être sensible, une atteinte au système nerveux n'est pas rien :
il suffit de voir un animal atteint de la rage ou autre atteinte au système nerveux pour s'en rendre compte, du degré de souffarnce lors de la perte
de contrôle du système nerveux.
ou, beaucoup moins grave, la désorientation au réveil d'une anesthésie chez le véto.
(l'animal, désorienté, se traine sur les deux apttes avant avant d'avoir retrouvé l'usage des patets arrières, l'air pas dans son aise).
bref... la symbiose marionettiste/espèce "insentiente" devrait à mon avis, comporter un degré de sensibilité profonde :
le symbiote doit se faire accepter, l'animal doit être en confiance,
il doit y avoir réelement un lien de sensibilité entre les deux.
Un peu la diféfrence entre un acte d'amour et un viol, quoi.
ou de manière plus généraliste,
comme un cheval ou un chien accepte de "se laisser manipuler", de suivre des directives, cela devenant un jeu, avec un fort lien affectif/social.
(par exemple, qu'un cheval accepte qu'on lui monte sur le dos, ou un chien de marcher en laisse, cela n'est pas naturel, et releverais même de l'agression dans le premier cas, si le cheval n'y étais habitué)
je sais pas si je l'exprime bien clairement :/
bon, en gros, ce que je retiens de mon côté comme idée pour la philosophie des marionnetistes,
c'est une notion de symbiose et de respect, d'empathie profonde, ce même avec le plus frustre des système nerveux.
De que pour une créture sentiente, il est plus sain de se sentir redevable
par avance à la créature qu'elle élève pour s'en nourrir. .
(en gros, la prédation fait partie de la chaine de la vie, mais puisque nous en avons conscience, il vaudrait mieux élever ce que nous mangeons
dans las meilleures conditions de vie possible, puisqu'après tout, retirant
de leur être notre subsistance, nous leur devont la vie*)
mais du coup la symbiose demanderait peut-être plus de temps que celle envisagée pour le moment ? le temps de se faire accepter par la créature ?
en gros... un pacte tacite ?
(et en gros, plus de facilité avec un/des symbiotes avec lesquels le mario aurait garndi ensemble...)
peut-être imaginer aussi des possibilités de maladies type rejet entre symbiote et hôte ?
le protocole de "l'animal machine" est dépassé.
... en gros, comme disais le renard au petit Prince " Apprivoises-moi"
* en gros, pourquoi je ne peux devenir végétarienne, mais j'aimerais
pouvoir manger plutôt du poulet élevé en plein air plutôt qu'en batterie.
en plus, il parait que le stress et la souffrances génère des toxines.
** pour "les frontières de la conscience", je vais écrire un autre article